Université de Cergy-Pontoise : quand la gestion de parc informatique favorise l’organisation pédagogique

Success Story LANDesk

 A tout juste 20 ans, l’Université de Cergy-Pontoise (UCP) est une jeune institution. Pour autant, pas moins de 5 UFR (droit, économie et gestion, langues, lettres et sciences humaines, sciences et techniques) et 3 instituts (IUT, IPAG, IUFM) répartis sur 12 sites se partagent les 15 000 étudiants que compte au total l’Université.

A l’instar du monde professionnel, l’outil informatique a pris peu à peu une place prépondérante dans les enseignements. Quel que soit leur parcours universitaire, tous les étudiants travaillent régulièrement sur ordinateur dans le cadre de leur cursus.

Ainsi, sur les quelques 4 000 postes informatiques du parc machines de l’UCP (administration, bureaux des enseignants, laboratoires, portables…), près de 2 300 ordinateurs répartis dans 150 salles sont dédiés aux différents enseignements.

Pour gérer l’ensemble de ce parc, la Direction Informatique et des Systèmes d’information (DISI) de l’Université dispose d’une équipe de proximité d’une vingtaine de personnes. Cette équipe gère l’exploitation et la maintenance des postes bien sûr, mais également les modifications de configuration qui peuvent s’avérer nécessaires entre 2 cours.

Le défi

Outre sa relative importance, le parc informatique de l’Université de Cergy-Pontoise est également très épars : les 12 sites de l’UCP se situent en effet sur 9 communes et 4 départements. « Avec de telles distances, une télégestion des postes de travail s’avère indispensable » précise Daniel Fouquet, Responsable du Département des moyens Informatiques. Pour la télédistribution de logiciels et les déploiements de patches correctifs ou de sécurité par exemple, mais également pour la prise de contrôle à distance en cas de problème sur l’un des postes.

L’hétérogénéité du parc informatique complexifie également la tâche : si de nombreuses machines tournent sous Windows (XP ou 7), d’autres fonctionnent sous MacOS ou utilisent une distribution Linux. « La télédistribution et l’installation du système d’exploitation sur les postes est un chantier plus récent mais qui nous permet de gagner en flexibilité et réactivité », poursuit à ce propos le Responsable des moyens informatiques.

La solution

En 2007, après une rapide analyse de l’offre sur le marché –acteurs traditionnels du secteur de la gestion de parc informatique, mais également les nombreux outils Open-Source qui commencent à se multiplier–, la DISI de l’Université de Cergy-Pontoise arrête son choix sur la solution Management Suite de LANDesk.

Conforme au cahier des charges établi par le Responsable des moyens informatiques, LANDesk Management Suite proposait en outre le meilleur rapport coût / prestations, et l’interface utilisateurs la plus simple et la plus ergonomique. « C’était aussi la seule capable de gérer un parc machines hétérogène, composé de systèmes Windows, Mac et Linux » se souvient Daniel Fouquet.

Après un déploiement dont la principale difficulté a été la gestion de domaines Windows multiples, la solution de LANDesk, hébergée sur un serveur Windows associé à une base de données SQL, est très vite adoptée par l’équipe d’exploitation.

Dès lors, l’inventaire des machines, la télédistribution des logiciels et la prise de contrôle des postes à distance sont totalement pris en charge via l’interface de l’outil. « En 2011, nous avons lancé un nouveau chantier : le déploiement des systèmes d’exploitation, explique Daniel Fouquet. Une nouvelle fois, c’est LANDesk et l’intégrateur SysDis qui l’ont emporté ».

Résultats

Dès le déploiement en 2007, les premiers résultats sont flagrants pour le Département des moyens informatiques : l’équipe ne perd plus de temps en déplacements, et la gestion des ressources s’en trouve facilitée. En cas d’absence ou de congé de l’un des membres de l’équipe d’exploitation, un autre collaborateur prend le relais, même sans être présent sur le site concerné.

Tandis que sur le plan de l’organisation pédagogique, LANDesk Management Suite est un véritable atout pour l’Université : « en moins d’un quart d’heure, nous sommes désormais capables d’adapter les configurations logicielles d’une salle informatique entière, afin que l’enseignant comme les élèves trouvent les outils dont ils ont besoin pour travailler en arrivant, même si ces derniers ne correspondent pas au cours précédent » s’enthousiasme Daniel Fouquet.

Particulièrement satisfait de l’outil, le Département des moyens informatiques de l’Université développe son utilisation. Dans les prochains mois, la solution LANDesk sera en mesure de déployer un système Ubuntu (distribution Linux basée sur Debian). D’autant plus rapidement qu’il est prévu de mettre en œuvre, en complément du serveur LANDesk central, des serveurs relais de l’application sur chaque site de l’UCP, afin de réduire les flux de données intersites.